LA Veme REPUBLIQUE A BOUT DE SOUFFLE
La séquence parlementaire de ces derniers jours montre, une nouvelle fois et s’il le fallait, que la Vème République est littéralement à bout de souffle.
D’un côté, le gouvernement s’empare de l’article 49.3 pour faire passer en force son projet libéral et d’inégalités sociales en dépit du débat démocratique, et, de l’autre, deux motions de censure sont déposées, toutes deux rejetées.
L’expression pluraliste n’a pas lieu. André Chassaigne, président du groupe communiste à l’Assemblée nationale parle même de «violence institutionnelle».
Aujourd’hui, nous le voyons bien, force est de constater que la rupture est consommée, la
défiance installée. Le fossé se creuse de plus en plus entre les Français et leurs institutions. Avec, pour conséquence, de les jeter dans les bras de l’abstention ou ceux de l’extrême droite.
Nous vivons ce pour quoi la Vème République avait été conçue à l’origine, à savoir la volonté du monarque présidentiel qui s’impose au-delà de toutes autres considérations, que ce soit dans les urnes ou dans la rue. Aujourd’hui, c’est : circulez, y'a rien à voir ! Or, notre démocratie ne pourra pleinement respirer si elle est toujours corsetée.
Il est donc grand temps de passer un véritable cap institutionnel et de vivifier notre république. Et, face à ce constat largement partagé, le passage à une VIème République semble plus que jamais indispensable.
Aujourd’hui, nous le voyons bien, force est de constater que la rupture est consommée, la
défiance installée. Le fossé se creuse de plus en plus entre les Français et leurs institutions. Avec, pour conséquence, de les jeter dans les bras de l’abstention ou ceux de l’extrême droite.
Nous vivons ce pour quoi la Vème République avait été conçue à l’origine, à savoir la volonté du monarque présidentiel qui s’impose au-delà de toutes autres considérations, que ce soit dans les urnes ou dans la rue. Aujourd’hui, c’est : circulez, y'a rien à voir ! Or, notre démocratie ne pourra pleinement respirer si elle est toujours corsetée.
Il est donc grand temps de passer un véritable cap institutionnel et de vivifier notre république. Et, face à ce constat largement partagé, le passage à une VIème République semble plus que jamais indispensable.
Une nouvelle république évidemment garante des institutions, soucieuse d’une démocratie directe, qui rompt avec la monarchie présidentielle, qui donne du poids au Parlement formé des élus du peuple, et qui se retrouve enfin en phase avec la volonté des Françaises et des Français de pouvoir participer pleinement à la vie démocratique de notre nation. Beau projet à porter, et absolue nécessité pour notre avenir démocratique et républicain.
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