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Il est possible que beaucoup de personnes dans la population n'ait pas entendu ou pas attaché d'importance à l'information donnée par la C R E (Commission de Régulation de l’Énergie) le 8 novembre. Ce communiqué est sur Inernet, taper "CRE communiqué du 8 novembre". Il résume la délibération N° 2022-272 qui compte 31 pages.

Bien qu'écrit en français, il faut commencer par apprendre à lire le langage de la CRE.

a) Titre : "La CRE réévalue les charges de service public de l'énergie à compenser en 2023 à -32,7 MdE" 
Il faut lire .....à moins 32,7 Milliards d'euros. C'est une charge négative, cela veut dire que l'état qui est, pour les concepteurs de cette activité, fait pour subventionner les producteurs d'énergies renouvelables.... va leur prélever 32,7 milliards d'euros.

b) 2ème paragraphe de l'encadré : "................les versements des opérateurs à l'Etat". Les "opérateurs" ce sont les sociétés concurrentes d'EDF aussi qualifiées de "fournisseurs alternatifs", ou le mot tabou, le capitalisme vert,

c) Ce prélèvement va s'effectuer, ligne 1, de l'encadré , sur les "opérateurs", concurrents d'EDF, les "EnR" c'est à dire les producteurs d'éolien et de photovoltaïque, (souligné au verso), pour l'essentiel. Leurs bénéfices sont tellement exhorbitants que l'état leur prélève 32,7 milliards. Pour visualiser, cela représente 34335 mètres (34,5 Km) de billets de 100 (cent) euros empilés. Ou, c'est difficile à imaginer, la hauteur de 110 Tours Eiffel ..... en billets de 100 euros empilés.

d) Dernier point de l'encadré, la CRE alerte : l'Etat peut perdre 6 à 7 milliards. Pourquoi ? Parce qu'avec l'explosion du prix de l'électricité consécutive à la folie du mode de son calcul (européen), les entreprises du capitalisme vert rompent leurs contrats avec l'Etat (l'obligation d'achat par EDF), pour vendre exclusivement leur production sur le "marché de gros européen".

La CRE dit à l'Etat: "il faut renforcer les mesures de taxation des rentes infra-marginales". C'est à dire récupérer la totalité des sommes prévues aux contrats depuis que le prix de gros sur le marché européen est devenu supérieur au tarif garanti par l'Etat. Cela est justifié par le subventionnement, à la construction, de l'éolien et du photovoltaïque par nos impôts à hauteur de 43 milliards depuis 2003.

Il faut que les militants, comme la population, apprenne à jongler avec les milliards. Pour éviter l'explosion sociale, comme la faillite des entreprises et des collectivités locales, des "mesures de soutien à la consommation énergétique" sont mises en oeuvre par Macron et son gouvernement. Leur coût sera au total de 40 milliards pour 2022 et de 46 milliards pour 2023, selon les dispositifs connus à ce jour .

Tout cela après que l'écologisme politique ait progressivement détruit notre système électrique. Jospin /Voynet avec l'abandon de Super-phénix ont ouvert le Bal. Les centrales à charbon qui produisaient aux heures de pointe (moins de 1% du total) ont été fermées et le bouquet, la décision de Hollande de fermer la centrale de Fessenheim a été réalisée par Macron , 1800 MW éliminés alors que la centrale en parfait état avait l'autorisation de fonctionner 10 ans. Au total 12700 MW détruits soit l'équivalent de 14 réacteurs du type "Tricastin".

La perspective d'abandon de la flière nucléaire a détourné ouvriers qualifiés et ingénieurs(1) ils vont travailler ailleurs, d'où conjugué à la crise COVID les retards dans la maintenance des réacteurs et de la construction de l'EPR de Flamanville. Donc EDF qui pendant 25 ans a exporté de l'électricité en importe désormais, produite au charbon et au gaz en Allemagne, d'où notre dépendance et l'obligation de nous soumettre aux tarifs (2) du "Marché de gros européen" .

Ainsi la destruction du système électrique français, (conçu à la libération sur les fondations de CNR, concrétisé par la nationalisation et la création d' EDF), par l'écologisme politique/parents et alliés dont Hollande aura coûté fin 2023 : 43+40+46 soit 129 milliards directement payés par nous tous contribuables. Les spécialistes diront que j'oublie les surcoûts pour les collectivités locale(3) et quelques taxes de-ci, delà. Par exemple, la CSPE qui aura coûté jusqu'à 7 milliards en 2021 sur laquelle s'applique la TVA à 20%..

Mais l'important n'est-il pas que les citoyens paient impôts et taxes au profit du capital dont le vert encore plus cupide ?

Les mauvais esprits objecteront que ces milliards auraient pu financer la construction de quelques hôpitaux , aller au ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche pour former plus de médecins et pousser la recherche sur les Médicaments de Thérapies Innovantes, rénover des lignes de chemin de fer, revaloriser les salaires et investir dans la relocalisation d'entreprises ...etc.

Une question n'est pas posée ! Actuellement une campagne est menée pour la taxation des "superprofits", avec dans le collimateur TotalEnergies dont je ne suis pas actionnaire. Mais quel niveau atteignent les profits du capitalisme vert (dont la branche photovoltaïque de TotalEnergies) pour que l'Etat le taxe de 32,7 milliards ? Le double, le triple ? Ce serait utile de savoir. Peut-être que dans un moment d'égarement Sandrine Rousseau nous le dira.

1) Depuis quelques années, des remises de diplômes d'ingénieurs ont été contestées par les étudiants sur l'inadéquation entre les débouchés s'offrant à eux et l'état de la planète et de nos sociétés. Je ne suis pas sur que ce soit un signe positif, ni lucide. La foisonnante variété de métiers, d'entreprises, permet de travailler utilement. Dont l'énergie nucléaire qui permet d'oeuvrer au quotidien pour produire une énergie décarbonnée indispensable à la société par ex. Voir l'édito du N° 36 de "Progressistes" et le dossier qui suit.

2) En décembre 2021 la Cour des Comptes a publié le prix du "nucléaire français" dans le cadre de l'élargissement à 120 TWh du volume de l'ARENH : 61,8 euros le MW (MegaWatt) Les calculettes de la Cour des Comptes sont fiables. Les plus anciennes centrales, comme Tricastin, Cruas ou Gravelines doivent produire le MW à moins de 40 euros.

Fin septembre 2022, devant l'obligation -européenne- d'avoir bouclé les contrats d'achat de l'année suivante avant le 31 décembre, EDF a dû payer des lots d'électricité à 1130 (mille cent trente) euros le MW ! Mesurez bien : 61,8 euros prix du MW nucléaire EDF, 1130 euros le même MW acheté sur le marché de gros européen après qu'écolos et complices aient détruit le système électrique français ! Mais ce sont pas les écolos qui paient, mais nous les usagers ! Et les entreprises vertes, elles, encaissent : voir la délibération de la CRE.

La douane publie chaque trimestre la situation du commerce extérieur de la France. Au 3ème trimestre le déficit énergétique atteint 7,3 milliards, porté majoritairement par l'électricité déficitaire de 4,8 milliards d'euros avec une envolée (du déficit) de 178,3% .

3) Pour les 54 communes de la Drôme "Valence Romans Agglo" la hausse de l'électricité est de 515% pour l'année 2023. De 300 à 550% ! C'est le sort d'à peu près toutes les communes de France, sauf celles qui ont moins de 10 salariés et ont conservé le TRV. Pour les entreprise cela va de 300% à 816% pour le Syndicat d'Irrigation Drômois et 900% pour l'entreprise Jacob Delafond dans le Jura, qui semble détenir le record et va sans doute disparaitre !

Jean-Pierre Basset Militant communiste de la Drôme

TRIBUNE. Fabien Roussel après l’affaire de Fournas : « Rebâtissons la digue républicaine »

 

Après la sortie jugée raciste du député Rassemblement national Grégoire de Fournas, jeudi, Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, appelle à remettre à l’ordre du jour une proposition de résolution afin de créer une peine d’inéligibilité en cas de condamnation pour injures ou violences sexistes et racistes.

Voici la tribune de Fabien Roussel , député du Nord et secrétaire national du Parti communiste, en réaction aux propos jugés racistes de l’élu Rassemblement national Grégoire de Fournas : « Jeudi dernier, le pire s’est produit dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale lors de la séance de questions au gouvernement. Carlos Martens Bilongo, député Insoumis du Val-d’Oise, a été victime d’un propos raciste émanant d’un député du Rassemblement national (RN). Grégoire de Fournas, puisqu’il faut bien nommer l’auteur de cette infamie, s’est autorisé à dire « qu’il retourne en Afrique » au moment où notre collègue posait une question au sujet du sort inhumain réservé aux migrants qui traversent la mer Méditerranée, bien souvent au péril de leur vie.

"Les propos tenus par ce député, qu’ils aient été adressés à Carlos Martens Bilongo ou aux personnes venues d’Afrique, sont racistes et xénophobes"
Depuis lors, Marine Le Pen tente tant bien que mal d’éteindre l’incendie, en évoquant une manipulation politique de ses adversaires. Mais au fond, peu nous importent les gesticulations ou autres explications vaseuses qui sont aujourd’hui fournies par l’État-major du RN : les propos tenus par ce député, qu’ils aient été adressés à Carlos Martens Bilongo ou aux personnes venues d’Afrique, sont racistes et xénophobes. Ils disqualifient définitivement son auteur auprès de tous ceux qui demeurent attachés aux valeurs républicaines. Le racisme n’a pas sa place dans notre société et certainement pas au sein de l’institution où le peuple français, dans toute sa diversité, est représenté par les élus qu’il s’est choisis.C’est pour cette raison qu’à l’exception des parlementaires du RN, tous les députés de l’Assemblée nationale présents ce jour-là se sont regroupés dans un mouvement inédit afin de demander une suspension de séance et la prise de sanction immédiate contre Grégoire de Fournas. Cet élan spontané restera le seul rayon de soleil dans cette sombre journée pour notre démocratie.

La gravité de l’injure proférée par ce député est venue rappeler que le RN n’est pas un parti républicain"
Hélas, cela faisait bien trop longtemps qu’un front ne s’était pas constitué pour faire face à l’extrême droite. Le verni de la respectabilité habillement étalé par le RN y est certainement pour beaucoup et tout porte à croire que celui-ci a désormais craqué sous les yeux de tous, y compris de ceux qui pensaient que cette formation politique était devenue un parti semblable à tous les autres. La gravité de l’injure proférée par ce député est venue rappeler que le RN n’est pas un parti républicain et qu’il demeure profondément attaché à une vision ethnique de la nation française, quand nous défendons pour notre part la nation comme une communauté de citoyens définie par des droits et des devoirs politiques.

Une communauté politique dans laquelle les élus doivent être les premiers à respecter ces devoirs civiques. C’est pourquoi, il y a un an, les députés communistes ont déposé une proposition de résolution visant à rappeler à tous nos compatriotes, à tous les élus et à toutes les formations politiques que la loi prévoit une sanction d’inéligibilité pour les personnes condamnées pour injures ou pour des violences à caractères sexistes et racistes. Car depuis la loi Gayssot, notre législation se fait l’honneur de considérer que le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions, mais des délits. Il ne s’agit pas ici de restreindre la liberté d’expression comme nous l’avons trop souvent entendu, mais bien de redire que personne ne peut se cacher derrière elle après avoir prononcé des propos racistes ou discriminatoires.

La majorité présidentielle de l’époque a malheureusement rejeté ce texte au motif que nous étions en période pré-électorale. Maintenant, il faut agir. La configuration politique n’est aujourd’hui plus la même et, sans doute, l’évènement survenu jeudi dernier a réveillé des consciences que l’on pensait définitivement endormies. C’est pour cela que nous entendons redéposer cette proposition de résolution afin qu’elle soit votée le plus largement possible. Plus personne ne doit subir la violence insupportable dont a été victime Carlos Martens Bilongo. En votant ce texte, nous pouvons rebâtir une digue républicaine. Il est urgent d’y parvenir. »

Déclaration du Parti communiste français lors de la 22ème rencontre internationale des partis communistes ouvriers




Au nom du Parti communiste français et de son secrétaire national Fabien Roussel, je voudrais remercier très chaleureusement le Parti communiste cubain de l’organisation de cette 22ème rencontre internationale des partis communistes ouvriers.

Notre délégation souhaite, ici, à cette occasion à la Havane, apporter toute la solidarité au peuple cubain, au parti communiste cubain qui luttent et résistent au blocus des Etats-Unis depuis 60 ans.

Nous le redisons ici, ce blocus économique, financier, ces lois extraterritoriales sont scandaleuses, illégales. Elles sont l’expression d’une ingérence intolérable des Etats-Unis, elles sont une violation totale de la souveraineté des peuples.


Il est urgent que les résolutions de l’ONU soient appliquées et pas seulement votées.


Le parti communiste français continuera à ce sujet les efforts de discussions à l’Assemblée nationale, au Sénat, partout où cela est possible pour permettre un engagement plus fort de la France et de l’Europe pour la levée du blocus et des lois extraterritoriales. Ce sera d’ailleurs un sujet important que voudra porter notre secrétaire national qui souhaite faire un voyage officiel à Cuba courant décembre de cette année.

Nous souhaitons aussi prendre un moment pour vous parler de ce qui se passe en France et en Europe.

Après une longue séquence électorale durant le 1er semestre 2022, la France a vu une nouvelle fois l’Extrême-droite se qualifier au 2ème tour des élections présidentielles où elle a recueilli plus de 13 millions de voix.

Le 2ème mandat du président Emmanuel Macron, que l’on appelle souvent « le président des riches » est fragilisé par le fait qu’il ne dispose que d’une majorité relative à l’Assemblée nationale. Il a cherché à flatter l’extrême-droite (qui dispose de 89 députés) en leur permettant d’accéder à des postes clefs comme le bureau de l’Assemblée qui intervient dans la définition de l’ordre du jour des débats. C’est un acte qui vise à donner une légitimité institutionnelle à ce parti d’extrême-droite et à son idéologie dangereuse pour nos droits et nos libertés.

Nous le savons, l’extrême-droite, la droite libérale sont aux ordres du capitalisme. Elles exploitent les humiliations et les ressentiments des peuples frappés par les injustices, les inégalités croissantes, les insécurités humaines qu’elles soient climatiques, alimentaires, sanitaires, éducatives ou énergétiques. Elles nourrissent les replis identitaires et la haine de l’étranger.

Le parti communiste français se mobilise pour répondre à la recherche d’une alternative au capitalisme. Avec les forces syndicales, associatives et politique nous impulsons l’idée qu’une sortie du capitalisme n’est pas seulement souhaitable mais possible. C’était le sens de notre slogan et de notre programme porté par Fabien Roussel pendant l’élection présidentielle qui appelle à se mobiliser pour construire : les jours heureux.

Dans ce contexte, on voit murir en ce moment un mouvement social, dans un contexte de grande inflation et de coût de la vie mais aussi de recherche de meilleure répartition des richesses. Les grèves se généralisent pour les hausses de salaire, pour l’amélioration des conditions de travail. Evidemment, notre parti soutient pleinement ces mobilisations sociales qui cherchent à bousculer le rapport défavorable entre le capital et le travail.

Une prise de conscience sur les conséquences et le coût humain et écologique du capitalisme semble progresser dans les esprits.

Dans les différentes manifestations des semaines dernières, on a pu voir des panneaux où l’on pouvait lire « Urgence de communisme ».

La France, l’Europe sont au cœur de multiples turbulences. La crise sociale, la crise énergétique, les dérèglements climatiques, la crise démocratique, et la guerre mettent les droits humains en difficulté et nos sociétés face à des défis colossaux.

Dans le monde interdépendant dans lequel nous vivons, tous les peuples sont touchés par la hausse des prix de l’énergie, de l’alimentation, des ruptures de chaînes de production et d’approvisionnement.

L’inacceptable invasion de l’Ukraine par la Russie, aux conséquences humaines dramatiques pour les peuples ukrainiens et russes renforce d’une manière assez dramatique la vigueur de l’OTAN et des Etats-Unis pour attiser la guerre.

L’escalade militaire, la course à l’armement de l’Europe, les menaces nucléaires de quelques-uns, la faiblesse des interventions des organisations internationales, l’alignement de l’Europe derrière les Etats-Unis, le refus de chercher une situation politique sont très inquiétants et menacent gravement la paix en Europe et ailleurs.

Il y a urgence à chercher les moyens de désescalade et un cessez-le-feu. Sous l’égide de l’ONU et de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) doit s’ouvrir immédiatement une conférence internationale de paix afin de permettre à chaque peuple la garantie et la sécurité dans le respect de son intégrité territoriale et de sa souveraineté. Nous ne pouvons plus attendre, il nous faut construire une paix durable. Et nous le savons, la bataille pour la justice, pour la liberté, les droits humains et la sauvegarde de la planète et la paix vont de pair et font partie d’un ensemble que l’on pourrait appeler la sécurité humaine.

Tous ces défis, en particulier les défis de paix, climatiques, énergétiques, cette sécurité humaine demande à toutes nos forces politiques un travail commun, des coopérations des solidarité internationales renforcées.

C’est bien pour cela que nous participons à cette 22ème rencontre internationale des partis communistes ouvriers, et nous souhaitons qu’elle débouche sur une déclaration finale qui montre l’importante nécessité de répondre aux défis mondiaux qui sont fassent à nous.

Dans des contextes souvent difficiles, les communistes, travaillent à innover pour construire des alternatives transformatrices, crédibles et rassembleuses pour dépasser le capitalisme faisant du progrès social et environnemental, du désarmement, de l’action pour la paix une priorité.

La créativité communiste, adaptée aux conditions de notre temps, peut le permettre.

C’est à la fois un immense défi mais surtout notre responsabilité.

Solidarité à tous les peuples qui luttent pour leurs idéaux, pour la justice sociale, pour leur liberté, pour leur souveraineté, pour la paix.

Vive la solidarité internationaliste !

La délégation du PCF
(Cécile Dumas, Taylan Coskun, Christophe Grassulo)


ENERGIE : NUCLÉAIRE FAITS ET CONTROVERSES


A lire absolument . Cliquez sur les images pour agrandir

EDITO

Rébellion en école d’ingénieurs, pour quoi faire ? Hélène Dupont


ZOOM SUR LA VOITURE ÉLECTRIQUE
La Voiture électrique : repères techniques, Pierre Nicolas

Enjeux sociaux et environnementaux de la transition énergétique dans l’automobile, Pierre Nicolas

Décarboner l’automobile : un objectif atteignable, Pierre Nicolas


DOSSIER NUCLÉAIRE : FAITS ET CONTROVERSES

ÉDITO CONTROVERSES AU SUJET DE L’ÉLECTRONUCLÉAIRE, Serge Vidal
Réussir la relance de la filière nucléaire, Serge Vidal
L’énergie nucléaire : un atout pour réduire les inégalités, Alain Tournebise
Nucléaire et climat, Sylvestre Huet
Indépendance énergétique de la France, Marie-Claire Cailletaud
Déchets radioactifs : comment préserver notre environnement et celui des générations futures ?, Bernard Felix

La gestion des déchets radioactifs en France : entre réalisme et techno-optimisme, Roberto Miguez

Les déchets nucléaires, talon d’Achille ou atout du nucléaire civil ?, Jean-Paul Bouttes

Sûreté nucléaire, les principes et l’avenir du modèle français, Louis Mazuy

Les conséquences d’un accident nucléaire, Serge Vidal

Avenir du nucléaire : quelles filières ?, Greg de Temmerman et Raphaël Dehont

Non-prolifération nucléaire : l’éthique de la coopération scientifique internationale, Gilles Cohen-Tannoudji

Nucléaire, on arrête ou on continue ?, Sylvestre Huet


L’IMAGE DU NUMÉRO


JEUX ÉCHECS

Dans les pas de l’école soviétique d’échecs, l’école soviétique victime d’une tentative de parricide, Taylan Coskun


SCIENCE ET TECHNOLOGIE, GÉNÉTIQUE

Génome humain : les 8 % qui changent tout, Interview de Jean Weissenbach, parue dans l’Humanité du 12 avril 2022 par Anna Musso.


ENVIRONNEMENT & SOCIÉTÉ

Marchés du gaz : sécurité d’approvisionnement et moindre coût, Éric Buttazzoni


LES SCIENCES ET LES TECHNIQUES AU FÉMININ

Carolyn Shoemaker (1929-2021), Claude Frasson