Au PC, pas d'union, mais pas de regrets
ARRAS. « Mélenchon ? C’est un socialiste, moque René Chevalier, secrétaire de la section du parti communiste à Arras.
« Il a déjà été au gouvernement. On sait très bien d'où il vient et ce qu’il a fait. » Avec lui. pas la peine d’évoquer l'union entre LFI et le PCF il ne regrette rien, bien au contraire.
« De toute façon, il n’y a pas eu de discussion, ça n'a jamais existé. Pourquoi on se serait retiré pour quelqu'un qui ne veut ni discuter ni rassembler? »
Il énumère les divergences « indépassables - entre les deux camps : « Sur le nucléaire, le SMIC, la sécurité... Ses propos sur les policiers sont inacceptables, ce sont des salariés avant tout. »
Après deux campagnes communes. « beaucoup de communistes disaient ne plus vouloir voter pour lui ». René Chevalier regrette simplement que l'appel au vote utile « a fait beaucoup de mal » au PC.
Il énumère les divergences « indépassables - entre les deux camps : « Sur le nucléaire, le SMIC, la sécurité... Ses propos sur les policiers sont inacceptables, ce sont des salariés avant tout. »
« ÇA NOUS A FAIT REVIVRE »
Après deux campagnes communes. « beaucoup de communistes disaient ne plus vouloir voter pour lui ». René Chevalier regrette simplement que l'appel au vote utile « a fait beaucoup de mal » au PC.
Cloué par la maladie. Il a observé la campagne, frustré de ne pouvoir y participer. Il ne tarit pas d'éloges sur son candidat : « Il a fait une campagne formidable. Ça nous a fait revivre, lit qui sait... peut- être est-ce un nouveau commencement ?» •
Toutefois pour les législatives. Il concède « Il va falloir se rassembler. » Reste à savoir avec qui ?
LOUIS rencard