FABIEN ROUSSEL : UN POSITIONNEMENT QUI POURRAIT CREER LA SURPRISE
Nageons-nous en plein délire ?
Au fur et à mesure que Fabien Roussel s’exprime et affiche sa détermination pour cette campagne, pour son idée de la politique, voilà qu’une partie de la gauche et des Verts essaie de le discréditer en lui collant une étiquette de réac’.
Une seule phrase, sans aucun doute sortie très naturellement un dimanche midi, lors d’un journal télévisé de France 3, aura servi à mettre le feu aux poudres. Ou plutôt à déclencher une polémique parfaitement ridicule. « Un bon vin, une bonne viande et un bon fromage, c'est la gastronomie française. Et le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d'y avoir accès. »
Depuis, il est invité à la commenter partout.
Cela ne le gêne pas, bien au contraire. Il va même jusqu’à se rendre à l’école de boucherie, à Paris, pour en rajouter une couche et, pourquoi pas, se moquer de ses adversaires. Car certains n’ont pas hésité à voir dans ses propos ceux d’un franchouillard raciste.
Depuis, il est invité à la commenter partout.
Cela ne le gêne pas, bien au contraire. Il va même jusqu’à se rendre à l’école de boucherie, à Paris, pour en rajouter une couche et, pourquoi pas, se moquer de ses adversaires. Car certains n’ont pas hésité à voir dans ses propos ceux d’un franchouillard raciste.
Le journaliste Daniel Schneidermann, qui fut mieux inspiré mais c’était il y a longtemps, est allé jusqu’à le traiter de « lepéno-zemmourien ».
C’est dire si ses détracteurs sont coupés du peuple et des réalités.
Comme le rappelle justement le candidat communiste, qui ne se démarque donc pas que sur la question du nucléaire ou de la sécurité, de nombreuses personnes vivent dans la précarité, voire dans la pauvreté
et ne peuvent ni manger à leur faim, ni se loger correctement, ni se chauffer. « Manger à sa faim, c’est un projet révolutionnaire », a-t-il rappelé lors de la présentation de son affiche de campagne, ce lundi 17 janvier.
Dès lors, ce positionnement ferme, mais pas entêté, qui étonne la droite, pourrait fort bien créer la surprise.
C’est dire si ses détracteurs sont coupés du peuple et des réalités.
Comme le rappelle justement le candidat communiste, qui ne se démarque donc pas que sur la question du nucléaire ou de la sécurité, de nombreuses personnes vivent dans la précarité, voire dans la pauvreté
et ne peuvent ni manger à leur faim, ni se loger correctement, ni se chauffer. « Manger à sa faim, c’est un projet révolutionnaire », a-t-il rappelé lors de la présentation de son affiche de campagne, ce lundi 17 janvier.
Dès lors, ce positionnement ferme, mais pas entêté, qui étonne la droite, pourrait fort bien créer la surprise.
En proposant aux Français et aux Françaises « d’ouvrir un nouveau chemin », en s'adressant à la fois aux ouvriers, aux ingénieurs, aux artistes, aux enseignants, aux retraités, etc., il ne fait jamais que leur proposer d’être enfin entendus dans un monde de plus en plus sourd aux réalités sociales.
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