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30 minutes d'entretien pour palier à la Pénurie d'enseignants


 

Eric Stemmelen, ancien directeur de programmation de France 2, explique l’incroyable censure journalistique


  Eric Stemmelen, ancien directeur de l’antenne et des programmes de France 2 et ancien directeur de l’institut de sondages Sofres, explique au micro de POUR.PRESS comment s’organise la censure chez les journalistes du système. C’est une machine bien rodée où le travail de censure se fait tout seul, sans avoir besoin d’intervention, nous sommes dans de l’autocensure. En ce qui concerne les journalistes de la caste, Eric Stemmelen explique : « Quand le présentateur de la matinale d’Europe1 est payé 38 000 euros par mois. Ça vaut quand même le coup de raconter n’importe quoi à ce tarif. » Quant aux petits journalistes, « on s’autocensure par peur d’être viré tout simplement […] il y en a qui n’ont pas l’intention de se retrouver au chômage. Donc le système est bloqué ! Il n’y a pas besoin d’envoyer la censure, c’est une autocensure. » L’ancien directeur de programmation de France 2 va plus loin dans l’analyse pour épingler le rôle central de l’AFP dans ce grand théâtre journalistique : « La deuxième chose, c’est que le système est plus efficace dans la mesure où il y a le “copier-coller”, c’est-à-dire la reproduction sur des sources apparemment diverses du même discours. Quand l’opinion est confrontée au fait que l’article du Figaro est finalement le même que celui Libération, qui est finalement le même que celui de l’Obs, qui est le même que celui du Monde… alors qu’il s’agit de sources bien différentes, avec, dit-on, un pluralisme, une diversité. Mais tous disent la même chose ! Et donc, le public se dit : “C’est la vérité !” puisque des organes aussi différents l’un que l’autre disent la même chose. Sauf qu’ils n’ont rien de différent, ils appartiennent tous à des milliardaires qui, eux, sont copains entre eux et n’ont pas besoin de se consulter pour dire la même chose. »

Fabien Roussel invité de la matinale de Europe 1, ce mercredi 30 août

 

Faisons de la nouvelle édition de la Fête un événement exceptionnel de la rentrée politique






Les 9, 10 et 11 septembre prochains, tous à la  fête de l'Huma.

Cela repose beaucoup sur chacune et chacun d’entre nous.

Avec bien sûr, un nouveau site et un beau défi à relever pour les équipes de la fête et pour les militants, bâtisseurs et animateurs de la fête pendant tout son déroulement.

Avec également, un contexte de crise très préoccupant par la multiplicité de ses formes : crise économique, sociale, crise climatique, crise énergétique, alimentaire … et par la violence de ses conséquences pour notre peuple et pour le pays.

Avec enfin, un contexte politique issu des élections présidentielle et législatives et l’ambition de Macron de mettre en œuvre son projet dans le cadre d’une recomposition de l’Assemblée nationale, où la gauche a renforcé sa présence avec la coalition de la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale, mais où les forces de droite et d’extrême droite disposent de 3/4 des sièges.

D’ores et déjà, nous avons lancé notre campagne d’été pour répondre aux urgences du pays, avec les matériels militants du parti, dont celui pour la défense du pouvoir d’achat et l’augmentation des salaires.

Sur ce sujet, les parlementaires communistes sont à l’offensive, à l’Assemblée et au Sénat.

Et plus que jamais, l’intervention et la mobilisation populaire vont être décisives.

Elles sont incontournables pour construire, dans le même mouvement, les conditions solides et durables d’une alternative politique de gauche, qui s’attaque enfin aux causes de cette crise multiforme du capitalisme.

De nombreuses luttes se déroulent en ce moment même dans les entreprises et les services publics, parfois avec des succès, avec l’exigence qu’un projet politique leur donne des perspectives.

Et les communistes ont une grande responsabilité dans cette période pour nourrir cette intervention populaire, pour donner confiance au mouvement social, pour mener la grande bataille d’idées qui permette de renouer avec la perspective d’un véritable changement de majorité et de politique. Face aux idées de renoncement, aux projets de division et de haine, remettons dans les têtes les idées révolutionnaires et ce bel horizon des Jours heureux !

Dans ce contexte, la fête de l’Humanité, premier événement politique de la rentrée, a évidemment une importance toute particulière.

Adressons-nous largement aux syndicalistes, aux progressistes, aux citoyen·nes qui s’interrogent sur l’avenir de notre société, à toutes celles et ceux que nous avons rencontrés pendant la campagne de la présidentielle et des législatives, à participer à la Fête de l’Humanité au Plessis-Pâté / Brétigny-sur-Orge.

Ils y partageront des moments de fraternité comme nulle part ailleurs, des temps de débat politique très riches, participeront directement à la construction de ce rassemblement populaire agissant pour résister et pour que la gauche devienne enfin majoritaire dans le pays.

Et évidemment, ils pourront assister à des évènements musicaux de qualité, avec un plateau encore une fois exceptionnel.

Pour ces raisons, j’appelle chacune, chacun à œuvrer pour faire de cette nouvelle fête une grande réussite populaire et politique.

Cela passe dans un premier temps par acheter et faire acheter le bon de soutien à la fête à 35 euros, qui donne accès à ce grand événement et à faire de cet été un grand moment de rencontre et de mobilisation communiste.

Fabien Roussel

Secrétaire national du PCF

Vous pouvez dès à présent acheter 

              Les vignettes au siège de la section PCF d'Arras,

14 avenue de l'hippodrome

ou, auprès des militantes et des militants qui en assureront une large diffusion.

              Un bus est prévu pour le samedi 10 septembre 2022.


 Gratuité du transport pour les étudiants, lycéens et enfants

             Vignette 35 € + Bus 24€ = 59 €                             

                                       Départ 7h00   Béthune.
                                  Départ  7h30  Lillers.
                                  Départ  8h10  Parking de Thélus
                                  Départ de Plessis-Pâté vers 23h30 - Minuit

                                                   contact:

Laurent Danel          06/63/99/48/75

René Chevalier         06/75/07/39/84

☞   Pour Info: Le passe 3 jours (vignette) est de 35€ à la section du PCF d'Arras ou les militants communistes Arrageois. 

La Chine a construit un "sky train" roulant sous des rails qui ne nécessite aucune énergie



Un nouveau train révolutionnaire a été construit en Chine. Grâce à la force des aimants, les rails n’ont besoin d’aucune énergie pour fonctionner.

Red Rail est un nouveau train qui est actuellement testé en Chine, dans la province du Jiangxi. C’est le premier Maglev suspendu, nom donné aux "trains du ciel", qui peut fonctionner sans énergie. C’est l’apport d'aimants couplé à des terres rares qui permet aux rails d'accueillir le train relaie Slate. Le pays asiatique est très en avance en ce qui concerne les trains suspendus. Plusieurs prototypes ont déjà été présentés. L’un d’entre eux peut circuler à 620 km/h tandis qu’un autre, en cours de fabrication, pourrait atteindre les 1.000 km/h, ce qui équivaut à la vitesse de déplacement d’un avion. Alors que tous ces futurs projets auront besoin d’électricité pour voir le jour, ce n’est pas le cas de Red Rail.

Comment fonctionne le Red Rail ?
Ce nouvel engin s’appuie donc sur la présence d’aimants sur les rails pour se déplacer. Ces derniers sont renforcés par un apport de terres rares comme du néodyme. Ainsi, le train circule sans qu’il n’y ait aucun frottement ni apport énergétique à la base. Les aimants ne deviennent? pas obsolètes puisque le magnétisme reste intact au fil du temps. Pour le moment, il est estimé par les chercheurs de la Jiangxi University of Science and Technology que la force générée pourrait permettre de transporter 88 voyageurs. La vitesse serait à ce stade de 80 km/h, mais en rallongeant la distance des rails, elle pourrait atteindre les 120 km/h.
Une future solution économique

Le coût d’un tel train est réduit par rapport aux traditionnels métros ou aux tramways. Il n’est pas nécessaire de creuser un trou dans la terre puisque ce moyen de transport est aérien. De plus, la fabrication de la structure est bien plus facile et superposable à des axes routiers qui existent déjà. L’un des soucis majeurs était de stabiliser le wagon. Des progrès continuent d’être effectués grâce à l’apport de l’intelligence artificielle.