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Fabien Roussel : « j’en ai assez d’entendre caricaturer la chasse et les chasseurs »
Le 7 avril : rendez-vous au Zénith de Lille ! ⚡
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Fabien Roussel lance les "Apé'Roussel" pour mobiliser son électorat
Je lance ce soir les Apé’Roussel !
— Fabien Roussel (@Fabien_Roussel) March 21, 2022
D’ici au premier tour, organisons tous les soirs des apéros pour présenter notre programme en toute convivialité.
Et avec modération sur les boissons ! #RousselNantes pic.twitter.com/Ct1euEp3Oa
Partager les temps forts de la semaine avec Fabien Roussel
Nous entamons aujourd'hui les 3 dernières semaines de la campagne, période durant laquelle une majorité de Français fera réellement son choix de vote le 10 avril prochain.
C'est le moment de convaincre. On te résume ici 3 façons d'agir :
Partager les temps forts de la semaine Lundi 21 mars : Meeting de Nantes, diffusion en direct sur les réseaux dès 19H
Mardi 22 mars : C à vous, sur France 5 à 19H
Mercredi 23 mars : Les 4 V, à 7h35 sur France 2, et Face à baba, sur C8 dès 19H
Jeudi 24 mars : Élysée 2022, sur France 2 dès 21H
Dimanche 27 mars : Meeting de Toulouse, diffusion en direct sur les réseaux dès 14H
Rejoindre les Réseaux Roussel pour coordonner nos actions sur les réseaux sociaux
Si tu souhaites mener campagne sur les réseaux sociaux, coordonner tes actions avec des milliers de militants, soutenir Fabien Roussel lors des temps forts de la campagne, rejoins l'un des Réseaux Roussel suivant :
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(Cliquez sur le nom du réseau pour le rejoindre • inutile de rejoindre plusieurs groupes)
Ajouter tes actions dans l'agenda militant des Jours Heureux
Débats, collages, porte-à-porte... réunis les militants des Jours heureux autour de tes actions!Nous publierons l'agenda militant de toutes nos actions ce mercredi !
Il permettra à chacun de trouver et rejoindre les actions près de chez lui.
On compte sur toi !
ELECTION: Emmanuel Macron : Retour sur expérience (2)
L’article ci-dessous a été écrit entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2017 et mis sur ce blog le 4 mai 2017 (repris le lendemain par Mediapart), soit trois jours avant le second tour de l’élection présidentielle. Une première fois, à mi-mandat, j’ai voulu donner l ’occasion à chacune et chacun de faire un point politique par référence à l’analyse que je proposais au départ (1). Je renouvelle l’opération à la fin de ce mandat (2). J’indique en italique (***2022) pour chacun des cinq thèmes traités ma propre appréciation sur la pertinence du diagnostic de 2017.
« Emmanuel Macron : cet homme est dangereux
« Emmanuel Macron sera élu le 7 mai 2017 président de la République. C’est le produit politique fabriqué par les efforts combinés de l’oligarchie financière, du MEDEF, des gouvernements Hollande, de la technostructure administrative, des opportunistes de tous bords, des stars de l’intelligentsia toujours avides de notoriété, de la totalité des médias ; bref, de tous ceux ayant joué un rôle dans la situation désastreuse actuelle et favorisé ou instrumentalisé la montée du Front national. Et cela dans le contexte d’une décomposition sociale profonde, d’une communauté des citoyennes et des citoyens désorientés, en perte de repères.
Son émergence est récente et il n’a cessé de cultiver l’ambiguïté pour se positionner électoralement au centre. Toutefois, on peut déceler à partir de plusieurs déclarations disparates une certaine cohérence idéologique, assez différente de celle qu’il veut accréditer ou qu’on lui prête. Cinq lignes de force peuvent être dégagées.
1. Un fervent de l’élitisme, hostile au monde du travail
Les analyses sociodémographiques publiées à l’issue du premier tour ont montré que Emmanuel Macron a été essentiellement soutenu par les personnes qui s’en sortent le mieux dans la cris, les plus riches, les plus diplômés, les partisans le l’Union européenne, laissant de côté la France qui souffre, accentuant ainsi les inégalités. Dans le même temps, il ne dissimule pas sa volonté de réduire le partenariat au sein de l’UNEDIC, plus généralement de préférer le soi-disant dialogue social à la concertation contradictoire. Il est un farouche partisan de la flexi-sécurité, cause de précarité et de pauvreté de masse. Il opérera une reprise en main étatique des crédits de la formation professionnelle. Il conteste la vocation des syndicats à s’exprimer au niveau national pour les cantonner autant que possible au niveau de l’entreprise dans l’esprit de la loi El Khomri qu’il veut prolonger par une réforme du code de travail adopté par ordonnances, c’est-à-dire sans l’aval du Parlement. L’avantage que l’on peut reconnaître à ce candidat c’est qu’il éclaire les contradictions de classe qui sont à l’œuvre.
*** 2022 – Emmanuel Macron a vite été regardé comme « président des riches ».. Au fil du quinquennat les inégalités sociales se sont renforcées. Les classes pauvres sont devenus plus précaires et les bénéfices des grands groupes ont atteint des niveaux parmi les plus élevés. Il a parachevé la réforme du code du travail entreprise sous le quinquennat précédent en diminuant les garanties des travailleurs. Le statut des cheminots a été supprimé et le statut général des fonctionnaires profondément dénaturé avant d’être codifié. Si la réforme régressive de l’assurance chômage a pu être conduite à terme, la réforme systémique des retraites provisoirement a échoué. Il a affiché de façon générale un grand mépris de tous les corps intermédiaires, en particulier des organisations syndicales. Quelques déclarations désobligeantes pour le monde du travail ont traduit un état d’esprit cultivant l’élitisme des « premiers de cordée » et le dédain pour ceux qu’il a nommé les « gens de rien ». Il a parfaitement accompli le mandat que lui avaient assigné les dominants précités.
2. La mise au pas des collectivités territoriales
Après Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron cherche le moyen de contourner le principe de libre administration des collectivités territoriales posé par l’article 72 de la constitution. Un système de conventions avec les régions pourrait y pourvoir qui conditionnerait le montant des dotations de l’État à la docilité des collectivités. L’État serait également appelé à compenser la suppression de la taxe d’habitation pour 80 % des ménages ce qui rendrait ce financement discrétionnaire. Le processus de métropolisation serait poursuivi et développé aboutissant à la suppression d’un quart des départements. Les collectivités territoriales seraient ainsi mises sous pression avec la diminution de 2 milliards d’eurios par an des dépenses de fonctionnement, la réduction de 75 000 emplois de fonctionnaires territoriaux, un retour strict imposé aux 35 heures hebdomadaires. La maîtrise de cette nouvelle politique coercitive serait assurée par une conférence annuelle des territoires. La remise en cause statutaire de la fonction publique territoriale reste la cible privilégiée.
** 2022 – La mise au pas des collectivités territoriales envisagée n’a pu être conduite aussi aisément que le président de la République l’avait prévue. Son mouvement La République en Marche n’a pu, à l’occasion des consultations électorales se constituer une base représentative significative. Les réformes envisagées n’ont pu être mises en place et le mécontentement des élus locaux n’a cessé de croître. S’est constitué au cours des cinq dernières années un véritable front du refus des organisations représentatives locales qui s’agisse de celles des communes, des départements, ou des régions. Le mépris à leur égard a été de même nature que celui opposé aux corps intermédiaires syndicaux ou associatifs. Le renforcement de la centralisation du pouvoir apparaît ainsi profondément contraire tant à l’initiative des citoyennes et des citoyens qu’à la libre administration des collectivités territoriales.
3. L’abaissement du Parlement
Il s’agit d’abord d’une réduction drastique des effectifs sensée dégager une économie annuelle de 130 millions, de l’ordre d’un tiers pour aboutir à 385 députés et 282 sénateurs. Le parlement réduirait considérablement son activité législative qui, hors période budgétaire, serait limitée à trois mois. IL y aurait donc moins de lois nouvelles, ce qui laisserait davantage de champ à la réglementation par décrets. L’activité du Parlement serait aussi réorientée vers des missions de contrôle et d’évaluation. La haute administration aurait de ce fait une compétence d’expertise plus étendue et un pouvoir hiérarchique renforcé sous l’autorité de l’exécutif. Emmanuel Macron a prévu de légiférer rapidement par voie d’ordonnances dès le début de son quinquennat et il conservera le mécanisme de l’article 49-3. Il est clair que la démarche tourne le dos au régime parlementaire.
***2022 – La question institutionnelle marque sans doute l’échec majeur du quinquennat d’Emmanuel Macron. Il est en relation directe avec la large opposition des élus locaux aux initiatives présidentielles. Le Sénat s’est généralement opposé à toute velléité de transformation institutionnelle présenté par l’exécutif. Il n’a pas été possible de recueillir son accord indispensable au vote conforme des deux chambres du parlement sur les projets institutionnels, le président ne voulant pas courir le risque d’un référendum sur ces sujets. Contrairement aux engagements de campagne d’Emmanuel Macron, aucune introduction d’un minimum de proportionnelle n’a été présenté pour l’élection à l’Assemblée nationale. De l’avis général le travail parlementaire a été d’une médiocre qualité : études d’impact bâclées et parfois remises en retard, recours abondant aux ordonnances, renvoi aux décrets en Conseil d’État de dispositions majeures qui auraient dû être adoptées par le parlement. La composition sociologique de la majorité présidentielle a elle-même été un handicap dans la mesure où les nouveaux députés n’étaient pas des militants expérimentés et visaient essentiellement à la notoriété. Le parlement confiné dans un rôle secondaire a laissé place à un renforcement de l’autoritarisme présidentiel.
4. Un gouvernement aux ordres
Le gouvernement serait lui aussi resserré à 15 ministres, et fortement instrumentalisé par le président de la République qui continuerait à présider les réunions du Conseil des ministres. Celles-ci seraient plus fréquentes pour assurer une discipline sans faille des ministres. Contrairement aux dispositions actuelles de la constitution, ce n’est toujours pas le gouvernement qui définirait et conduirait la politique de la nation mais le chef de l’État. Les ministres seraient évalués chaque année. Pour autant, leurs pouvoirs et surtout leurs cabinets exerceraient une autorité renforcée sur les administrations placées sous leur tutelle. Le candidat Macron jugeant le statut général des fonctionnaires « inapproprié », outre une réduction des effectifs prévue de 120 000 emplois, accentuera la dénaturation du statut par une extension du spoil system , le recrutement accru de contractuels de droit privé sur la base de contrats négociés de gré à gré. Il s’agirait donc d’une mise en cause des principes d’égalité, d’indépendance et de responsabilité et d’une réaffirmation sévère du pouvoir hiérarchique, de l’obligation de réserve, du devoir d’obéissance.
**** 2022 – Moins que jamais le gouvernement est cette institution qui détermine et conduit la politique de la nation comme le prévoit l’article 20 de la constitution en vigueur, précisant qu’il dispose de l’administration et de la force armée. L’exécutif présidentiel a pleinement utilisé les possibilités offertes par la réforme du quinquennat de 2000 assortie de l’inversion du calendrier des élections présidentielles et législatives assurant la prééminence du président de la République au sein de l’exécutif. Cela a conduit à transformer le gouvernement en une sorte de secrétariat général du président. Seuls quelques ministres sont connus de la population, peu ont brillé par leurs vertus ou leurs talents. Qui plus est, le conseil des ministres a été doublé tout au long de l’épidémie des conseils dits de défense réunis à la seule initiative du président et dont les membres étaient choisis par lui seul. Le gouvernement tout comme le parlement n’ont pas joué un rôle déterminant au cours du quinquennat faisant fonction surtout d’organismes d’enregistrement des volontés présidentielles. La référence à une déontologie faiblement normative a été préférée aux règles du droit positif. L’élargissement de la place faite aux personnels contractuels a rendu plus incertain le service de l’intérêt général. L’entreprise privée est devenue la référence sociale majeure de l’action publique. La réforme de la haute fonction publique et la suppression de l’ENA ont conduit à une plus grande fongibilité des corps de la haute administration, favorisant une gestion plus discrétionnaire des emplois publics les plus élevés.
5. Un exécutif opaque et autoritaire
Emmanuel Macron ne remet pas en cause les institutions de la V° République, notamment l’élection du président de la République au suffrage universel, ni l’usage plébiscitaire du référendum, ni de façon significative le mode de scrutin. Les conditions d’une VI° République ne sont pas réunies : pas de large consensus de récusation des institutions actuelles, pas de consensus sur les caractéristiques d’une nouvelle constitution, pas d’évènement fondateur comparable à ceux qui ont présidé à l’avènement des républiques antérieures et de l’actuelle. Si l’ambiguïté sur ce que pourrait être la fonction présidentielle du nouveau président demeure grande, on peut déduire de ses quelques déclarations sur le sujet et de ses postures que son exercice de la fonction présidentielle, qui a pu être qualifiée de « jupitérienne », serait à la fois opaque et autoritaire, autocratique. La « dérive bonapartiste » qui a caractérisé le quinquennat de Nicolas Sarkozy risque d’être ici renforcée avec plus de méthode et, sans doute une traduction institutionnelle qui se durcira face aux conflits sociaux que la politique présidentielle ne manquera pas de provoquer. Jusqu’à quelles limites et à quelle échéance ? C’est la principale incertitude sur le danger encouru.
S’il est clair qu’on ne saurait voter pour la politique de filiation autoritaire, xénophobe et nationaliste de Marine Le Pen, le danger de la politique portée par Emmanuel Macron constitue une autre redoutable menace pour le progrès social et la démocratie.
Dimanche 7 mai 2017 je voterai Blanc. »
*** 2022 – C’est sans doute le narcissisme qui a constitué au cours du quinquennat la caractéristique majeure de la personnalité d’Emmanuel Macron. Certes, le caractère jupitérien qu’il avait revendiqué a été en permanence présent, mais il n’a été assumé que de façon médiocre. Convaincu d’élitisme, il n’a cessé de juger de toute chose qu’a la mesure de la supériorité dont il se croyait investi. Toutefois, il n’a jamais fait la démonstration du caractère exceptionnel de ses capacités agissant le plus souvent de manière très contradictoire face aux questions posées ou aux événements rencontrés. Souvent désorienté et il n’a cependant pas hésité à adopter des positions changeantes, reconnaissant par là-même une absence totale de réelles convictions et de perspectives. Certains commentateurs ont passé beaucoup de temps et dépensé de l’énergie pour tenter de définir ce que pouvait être le macron isthme. En vain. Tout au plus sont-ils parvenus à considérer que cette option idéologique pouvait se résumer dans la célèbre locution « en même temps ». On a pu évoquer à ce propos l’idée de « personnalité politique liquide » en entendant par-là une adaptation constante aux conjonctures successives différentes voirr opposées sans révéler ni finalités réfléchies, ni moyens rationnellement étudiés, ni cohérence recherchée. Autoritaire et souvent arrogant il n’a cependant été que l’instrument des véritables détenteurs du pouvoir politique, les oligarchies financières mondialisées. De quoi Macron est-il le nom ? D’une dangereuse décomposition sociale.
Compte tenu des développements qui précèdent je n’ai aucune raison de regretter mon choix de 2017.
Le LOSC et Lens en clair à la télé? L’idée de Fabien Roussel pour les retransmissions sportives
L’ancien journaliste de France 3 n’entre pas dans les détails mais souhaite voir, « plus de sport féminin, plus de disciplines que l’on ne voit que trop rarement à la TV ». « Je veux un foot populaire, je veux un foot accessible en clair ! », a-t-il notamment ajouté.
On ne sait pas pour qui son cœur balance, mais le candidat du Parti communiste avait peut-être à l’esprit que la quasi-totalité des matchs du LOSC et de Lens n’étaient pas accessibles en clair cette année. Ce mercredi, la rencontre des Dogues en Ligue des champions sera visible sur Canal + Sport et RMC Sport 1, comme depuis le début de la compétition.
Élection. Une dérive aristocratique , dans le courrier international
Lu dans le courrier international du 17 mars, sur les caractères individuels des candidats à la présidentielle française constituent une donnée déterminante dans le choix des électeurs, qui ne se prononcent plus sur la qualité d’un programme, affirme un politologue, également chroniqueur régulier du quotidien belge Le Soir.
voici une partie de l'article :
Recul démocratique. Le problème qui se pose à ses concurrents est que la plupart sont rattrapés, eux aussi, par le caractère aristocratique de l’élection : leurs traits de personnalité risquent de tirer leurs scores vers le bas. Éric Zemmour fait peur par sa dureté, Marine Le Pen manque de crédibilité et Valérie Pécresse de sincérité, Anne Hidalgo et Yannick Jadot souffrent d’un trop faible leadership, Jean-Luc Mélenchon est ramené à son passé, à ses foucades et à ses mouvements d’humeur… Seule la personnalité de Fabien Roussel devrait lui permettre d’obtenir un score plus élevé que l’audience actuelle du Parti communiste.
La dérive aristocratique du scrutin présidentiel est en marche, qui rend les programmes – et donc les engagements pris devant les Français – assez secondaires au regard des caractères individuels des candidats. On peut considérer que c’est inévitable, au vu du déclin des idéologies et de la complexité des enjeux, qui rendent plus ou moins obsolète l’idée de représenter fidèlement des aspirations populaires formalisées.Fabien Roussel, la case ouvrière (vu de Belgique)
●“Fabien Roussel est tombé dans la marmite de potion magique communiste quand il était petit”, annonce l’éditorialiste de De Morgen. En ne s’inscrivant pas dans le courant woke, le candidat du PCF [visé mi-mars par une enquête pour emploi fictif] se distingue du reste de la gauche et s’adresse à la France ouvrière plutôt qu’aux bobos : “[Son] programme comporte des revendications classiques comme la hausse du smic et l’imposition des plus riches. […] Et si Roussel prône le développement des sources d'énergie renouvelables, il soutient par ailleurs, contrairement aux autres candidats de gauche, la filière nucléaire française.”
#FaceALaGuerreTF1 TF1: FABIEN ROUSSEL
Chronique d'un Citoyen: EMPLOI FICTIF? OU ENQUÊTE FICTIVE?
EMPLOI FICTIF? OU ENQUÊTE FICTIVE?
Quelque chose m’échappe dans la dénonciation osée de Médiapart relayée par le parquet financier à propos de Fabien Roussel et de son poste de collaborateur parlementaire. Il aurait perçu pendant ces 5 ans un «salaire fictif» car sur son temps de travail il s’occupait du Parti Communiste.
Au moins, au vu de la déclaration de son patrimoine cela n’a pas l’air de l’avoir beaucoup enrichi. Comme l’ami Robespierre, Fabien Roussel n’a guère de biens. Tout juste une modeste maison.
Comme on dit dans mon Nord:«cha fait pas gramin».Mais ce qui me tracasse c’est la manière dont on fait choux gras de cette affaire. Que nous dit le site de l’assemblée nationale – que tout bon journaliste même débutant ne manque pas de consulter sur son iphone 12, dans l’attente du 13 --: «Le principe de base est celui du député-employeur: le collaborateur est le salarié du député, non celui de l’Assemblée nationale.
De ce principe, dont la portée a été renforcée en 2002 par la possibilité offerte aux députés de gérer directement leur crédit collaborateur, découle l’ensemble des règles et dispositifs qui organisent la relation du député avec son ou ses collaborateurs: [...]-
Meeting Valenciennes • Mardi, participez au meeting de Fabien Roussel !
LieuCité Des Congrès de Valenciennes - Auditorium Watteau
1 Esplanade des Rives Créatives de l'Escaut
Anzin 59410
France
Google map et itinéraire
Fabien Roussel tiendra un meeting, à Valenciennes mardi 15 mars à 18H30 ; inscrivez-vous ici pour participer à l'événement !
Entrée gratuite sur inscriptionPARTAGEZ VOTRE VENUE
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INFOS PRATIQUES
🗓 Date : Mardi 15 mars 2022
⏰ Heure : 18h30
📍 Lieu : Rendez-vous à l'auditorium Watteau de la Cité Des Congrès Valenciennes, 1 Esplanade des Rives Créatives de l'Escaut, 59410 Anzin
ACCESSIBILITÉ
Les dispositifs d'accessibilités ci-après seront déployés pour ce meeting : dispositif d'accompagnement, boucle magnétique, langue des signes, et accessibilité aux personnes à mobilité réduite.
Courrier International: Vu de Belgique.Avec Fabien Roussel, la gauche reparle enfin aux classes populaires
Le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, lors d’un meeting à Harfleur, le 5 mars 2022. PHOTO JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP |
Reste que le PCF s’en sort infiniment moins bien de nos jours que dans l’après-guerre. Après un fiasco à la présidentielle de 2007 – moins de 2 % –, il s’est rangé sous la bannière de Jean-Luc Mélenchon et du Front de gauche. Aussi Fabien Roussel poursuit-il aujourd’hui un objectif : empêcher que son parti ne disparaisse en reconquérant la classe ouvrière, qui a massivement rallié le Rassemblement national.
[Fin janvier], un sondage Ipsos [avant] le premier grand meeting de campagne de Roussel, à Marseille, le donnait à 3 % d’intentions de vote. Pas de quoi faire le fier, mais c’était autant qu’Anne Hidalgo, la candidate officielle du Parti socialiste. Pour la première fois depuis les années 1970, PCF et PS étaient à égalité [depuis, dans le dernier sondage Ipsos, Roussel est donné à 4 %, Hidalgo à 2,5]. Mais plutôt que sur les chiffres, il est intéressant de se pencher sur la stratégie du leader communiste, qui illustre bien les choix auxquels la gauche se trouve aujourd’hui confrontée. Et pas seulement en France.
“Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage”
Le programme de Fabien Roussel comporte des revendications classiques comme la hausse du Smic et l’imposition des plus riches. Mais il cherche aussi à se distinguer de la foultitude d’autres candidats de gauche, efforts qui suscitent, depuis